Derrière moi, Pamplona s'éloigne, avec la chaîne de Pyrénées. Devant moi, des champs qui deviennent immences, des cultures de céréales , des amandiers. J'ai croisé les premiers oliviers, et les premières vignes. Ça me donne envie d'avancer vite, comme par instinct, aller vers la mer. En plus le chemin semble dirigé vers elle, direct et authentique, donnant l'impression d'un accès prochain à la Fin de la Terre. Et en même temps, une tendinite à la cheville qui me préconise la lenteur... Une nouvelle fois, adaptation adaptation..

Merci pour vos nombreux messages.