Burgos, quelle ville vivante, propre, agréable et magnifique. Les rues piétonnes, jonchées de bars à pinchos, ses places remplies de terrasses et sa majestueuse cathédrale, tellement lumineuse, tellement impressionnante. Et on ne peut pas y entrer....

Le lendemain matin, je continue mon chemin et croise une jeune italienne Rachele avec qui j'avais passé une soirée bien sympa quelques jours auparavant. Comme je n'ai aucun hébergement qui s'affiche dans mon application pour Hontanas, elle propose de faire des téléphones et de m'informer. On se quitte. Je reçois un peu plus tard un message de sa part: "j'ai trouvé une chambre à partager, see you". Cette phrase m'interpelle, je trouve un peu osé, particulier, mais bon, je me dis que je verrais bien. Puis, qu'elle parlait peut être d'un dortoir. J'arrive quelques heures après à Hontanas, et entre dans la seule auberge ouverte. Je demande si une Rachele à réservé une chambre avec moi. La responsable se déconfit. Oui elle a bien réservé une chambre pour 2, mais il y a un autre homme qui l'attend dans la chambre 😅😂. La responsable était toute malheureuse et ma fait un prix pour une chambre individuelle😏 et on a tous bien rit de cette anecdote.

Cette histoire parle de la difficulté à communiquer avec la barrière des langues. Rachele voulait juste me dire qu'elle avait pu réserver une chambre sur Booking, et que donc une auberge était ouverte si je voulais m'y arrêter.

Voili voilà